L’exploitation du caoutchouc exigeait que les villageois rapportent à leurs administrateurs, une certaine quantité de marchandise. Si celle-ci n’était pas satisfaisante, une main était coupée sans autre forme de procès. La seconde main était coupée de la même manière si l’incident venait à se répéter. Et pour la petite histoire, les chocolatiers Anversois vendent encore les petites mains coupées en chocolats.
L’article est à lire sur le site www.artyourlife.fr
Les produits dérivés sont en vente dans notre boutique
